Le golf, plus qu’un incontournable…!

DSC00192 MODIFPour certains ce fut le hockey, le tennis ou le soccer.  Pour ma part, c’était le golf!  J’ai grandi dans un univers de golfeurs.  Mes parents jouaient au golf, et même mon frère de 5 ans mon cadet s’y est mis dès son plus jeune âge.  Je me souviens des dimanches après-midi passés à regarder les match de golf à la télévision en même temps que mes parents cuisinaient le souper, à les écouter parler des bons coups de leurs joueurs préférés.  La nature verdoyante, le bruit sec d’une balle frappée, le chant des oiseaux sur le terrain silencieux, la rumeur du vent, tout cela m’inspire maintenant la détente.  Pourquoi n’ai-je pas suivi la vague?  Ce sport ne m’intéressait plus ou moins.  J’avais déjà essayé de frapper quelques balles et c’était pathétique.  Mon dada, c’était le mini-putt!  Ah là j’excellais!  Le golf à petite échelle me convenait bien plus.
Du côté de la famille de ma mère, le golf est très populaire.  Chaque année, un nouveau golfeur s’ajoute au lot.  Plusieurs jouent à chaque semaine et cela a toujours été un plaisir pour mes parents de les retrouver l’été.  Pourtant, j’ai persisté à être simple spectatrice.  Faut dire que personne ne mettait de pression sur mes épaules!
Jusqu’à… cet été.  Mon chum s’est laissé embarquer dans la secte du golf et veut que je m’y convertisse à mon tour.  J’ai dit « non… », « ce n’est pas un sport pour moi ».  Mais après un été à le voir partir prendre l’air sur un beau terrain, à profiter de la nature, à avoir du plaisir avec MA famille… je crois que je vais changer mon fusil d’épaule…  Je n’ai pas le choix, je suis envahie par le golf!
Je capitule donc.  À l’automne je prendrai des cours de golf intérieur, avec mon amoureux pour me superviser…  J’espère être à la hauteur!  Pas question d’investir dans des bâtons et un sac avant de savoir si j’ai hérité du talent familial.  Mais sinon, je pourrai toujours suivre une formation de caddie!

Brownies avec chocolat blanc, pacanes et zeste d’orange

Je partage avec vous ma première recette!  Ce sont des brownies qui font fureur au travail.  Très faciles à réaliser, ils ont une consistance dense et chocolatée.  Les mesures sont en poids, alors munissez-vous d’une balance!
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Brownies avec chocolat blanc, pacanes et zeste d’orange
Temps de préparation : 15 minutes ; Temps de cuisson : 30 minutes
Temps de réfrigération : 2 heures ; Portions : 36 carrés d’environ 4 cm.

  • 250 g (8 oz) de chocolat noir mi-sucré, haché
  • 150 g (5 oz) de beurre non-salé en morceaux
  • 150 g (5 oz) de sucre à glacer
  • 3 oeufs battus
  • 1 pincée de sel
  • Zeste râpé et blanchi d’une orange
  • 125 ml (1/2 tasse) de noix de pacanes hachées grossièrement
  • 125 ml (1/2 tasse) de brisures de chocolat blanc
  • 60 ml (1/4 tasse) de farine tamisée

Préchauffer le four à 350 F.  Beurrer un moule de 9po x 9 po ou le tapisser de papier parchemin.
Dans une casserole, faire fondre le chocolat haché et le beurre à feu doux.  Lorsque le chocolat a fondu, retirer la casserole du feu.  Incorporer le sucre à glacer, puis les oeufs battus.  Ajouter le reste des ingrédients, mélanger.
Verser dans le moule et cuire au four 25-30 minutes.  Laisser refroidir environ 30 minutes, puis réfrigérer au moins 2 heures.  Démouler et découper en petits carrés.
P.S. À essayer avec d’autres noix, et ajouter des canneberges séchées.  Ça doit être succulent!
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« Les âmes vagabondes » de Stephenie Meyer

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J’ai terminé un très bon livre hier et je suis en deuil…  C’était un de ces romans qui nous tiennent en haleine durant toute la lecture, qui nous donnent le goût de lire même en mangeant, même en présence de son amoureux, même en se couchant…  J’en ai fait une petite critique sur mon profil Facebook et je la retranscris ici.  Maintenant, je retourne voir mon chum qui s’est peut-être un peu ennuyé de moi…!
Résumé :
Notre Terre a été envahie par un ennemi invisible. Petit à petit, les âmes vagabondes s’emparent du corps des hommes en neutralisant leur esprit. La quasi-totalité de l’humanité a ainsi succombé.
Melanie Stryder fait partie du dernier groupe d’hommes libres. Lorsqu’elle est capturée par les Traqueurs, on lui insère Vagabonde, une âme exceptionnelle qui a déjà connu plusieurs corps. Elle sait les difficultés d’envahir un humain hostile : les émotions dévastatrices, le tumulte des sens, les souvenirs trop vifs. Et Vagabonde rencontre un obstacle supplémentaire : l’esprit de l’ancienne propriétaire résiste.
L’âme explore les souvenirs de Melanie dans l’espoir de découvrir l’endroit où se cachent les derniers résistants humains. Mais à la place de ces informations, Melanie submerge Vagabonde par les images de l’homme qu’elle aime – Jared, un humain encore en cavale. Incapable de se dissocier des pulsions de son corps d’emprunt, Vagabonde commence à aimer l’homme qu’elle est censée livrer aux autorités. Face aux pressions extérieures, Melanie et Vagabonde se retrouvent alliées malgré elles ; commence alors pour elles la quête incertaine et périlleuse de cet homme dont elles sont toutes deux amoureuses.
Ma critique :
Je croyais qu’après la série de livres Twilight, Stephenie Meyer ne saurait pas se réinventer. Et pourtant, ce roman est totalement différent, sauf qu’on y retrouve aussi des belles histoires d’amour et d’amitié, sans tomber dans l’eau de rose. C’est le premier roman pour « adultes » de cette auteure.  De plus, les personnages sont un peu plus vieux et même si le récit se déroule sur la terre, on est dans un monde totalement imaginaire et futuriste.
L’histoire de science-fiction est très bien exploitée et plaira même à ceux qui ne sont pas fans de ce genre de lecture. Curieusement, je me suis attachée à la plupart des personnages, ce qui ne m’arrive pas assez souvent à mon avis!
Alors pour ceux qui ont apprécié l’auteure et Twilight, vous aimerez ce livre pour les mêmes raisons! Dommage qu’il n’y ait pas une suite, car la fin de l’histoire permet d’entrevoir de nouvelles aventures très intéressantes!
Je lui donne 4,5/5 pour le vif intérêt qu’il a suscité en moi.

Rien de plus beau

J’ai trouvé ce vidéo sur le site internet de Dominic Arpin.  On y voit l’aquarium de Okinawa Churaumi où il y a le deuxième plus gros bassin du genre dans le monde. Il contient 7500 cubes métriques d’eau (7 millions et demi de litres), a une hauteur de 8,2 mètres et une largeur de 22,5 mètres et met en vedette des raies et des requins-baleines.
La chanson, « Please don’t go », est du groupe Barcelona.
[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=u7deClndzQw]

Droguée de la météo

Wow, quelle belle fin de semaine que je viens de passer dans les Cantons-de-l’est!  C’était la « Fête de famille » au bord de la rivière St-François où se réunit toute la parenté du côté de ma mère à chaque année.  Ce weekend m’a permis réaliser quelque chose.  Je crois que je suis une droguée de la météo!  Toute la semaine, j’ai regardé les sites de météo afin de savoir quel temps il ferait… Franchement, cela s’annonçait très pluvieux.  Finalement, on a eu du très beau temps et les orages sont arrivés seulement dans la nuit du samedi et le dimanche soir.  Que de stress et d’inquiétude pour bien!
 Alors voilà, j’ai une nouvelle résolution.  On se restreint trop souvent en raison des prévisions météo. Pourtant, il ne faut pas rester chez soi car on prévoit un « 40% de possibilité d’orage » ou « des averses dispersées ».  Bien souvent, il ne mouille même pas et on a le temps de faire nos activités! Comme vous le savez, je ne veux plus remettre mon bonheur à plus tard et je décide de ne plus me fier aux prévisions météo!  Du moins, presque plus!  Bien-sûr, je devrai passer par une période de sevrage, alors donnerai la permission de regarder parfois MeteoMedia…   Mais fini la crainte de la pluie!  Dans le pire des cas, j’apporterai un parapluie et un imperméable, mais je ne m’empêcherai pas de sortir quand même et d’avoir du plaisir!

La vita ora è

La vita ora è, la vie est maintenant… depuis quelques mois, c’est mon nouveau mantras.  Lorsqu’on réalise qu’il faut vivre l’instant présent, le comportement change, l’attention se porte ailleurs.  Avant, j’avais tendance à espérer le mieux pour plus tard, à croire que le meilleur était à venir…  Je me disais « quand j’aurai un plus grand appartement », « quand j’aurai une auto », « quand je travaillerai », « quand j’aurai une maison », je serai plus heureuse.  Je n’ai pas encore obtenu toutes ces choses, mais je n’attends plus après le futur pour chercher à me sentir bien.  Maintenant, je ne veux plus gâcher un moment à faire une chose qui ne me plaît pas.  J’ai une urgence de bonheur et je profite de tout ce que la vie peut m’apporter : mon chum qui me regarde avec amour, un souper en famille, une amie qui se confie, un enfant qui me sourit, une fleur qui éclos, un ciel bleu zébré de nuages blancs, un cadeau que j’offre à une personne que j’aime, un bubble tea que je déguste dans le quartier chinois, un chat vagabond qui vient se frôler à moi, un feu d’artifice que je regarde par la fenêtre de mon appartement…  Il y a tant de belles choses qui méritent qu’on soit heureux pour elles.
 Alors bienvenue dans ce blogue qui suivra mes humeurs et mes découvertes.  J’y partagerai mes petits bonheurs et mes impressions de la vie.
Ne pas oublier :
« Rien ne s’est jamais produit dans le passé : cela s’est produit dans le présent. Rien ne se produira jamais dans le futur : cela se produira dans le présent. Vivre maintenant est la clé d’accès au bonheur et à la sérénité. »
“Si ce n’est maintenant, quand?”
Extraits du livre d’Eckhart Tolle, Le Pouvoir du Moment Présent